Quand la nuit soulève ses longs bras noirs
Les femmes se renferment sans histoire
Quand le chant du crépuscule se maquille de solitude
J'ai comme un flou qui renverse ma mémoire
Elles sont là, si inquiètes
Elles demandent, juste demandent qu'on les aide
Vivre libres, vivre dans les sentiments qui nous inspirent
Vivre libres, loin des tourments et des encens
Quand les drapeaux blancs du désespoir
Flottent dans un vent qui s'égare
Quand la liberté soulage tous ces yeux fardés de larmes
J'ai comme un frisson devant ces images
Elles sont là, elles sont prêtes
Dans leurs mains, cette force qu'elles regrettent
Vivre libres, vivre dans les sentiments qui nous inspirent
Vivre libres, loin des tourments et des encens